histoire de sexe Noël Gleeden
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Histoire de sexe : rencontrer l’homme d’Internet pour la première fois (Chapitre 1)

Vous commencez à me connaitre, j’aime profiter de mon blog pour partages mes expériences, mes astuces, mais aussi mes histoires de sexe… En repassant sur mes derniers articles, j’ai vu que cela faisait un moment que je ne vous avais pas confié une petite anecdote sexy, vécue il y a quelques années maintenant avec un homme rencontré sur un site de rencontre adultère

J’étais un peu plus jeune, il était un peu plus âgé et c’était la première fois que je rencontrais quelqu’un sur Victoria Milan (mon test). Rien n’engageait à rien et puis au fil du temps, cette première fois était le début d’une rencontre plus longue.

Visiter Victoria Milan

Si je dois me confier à vous avant de commencer cette histoire de sexe, je peux vous dire que cette relation a duré un petit moment avant que nos chemins se séparent parce que, vous savez, la vie. Ce qu’il faut retenir de tout ça, c’est que ce récit est la première partie à laquelle viendront s’en ajouter d’autres au fil du temps…

J’espère que cette petite histoire de sexe un peu hot vous plaira, n’hésitez pas à me donner votre avis en commentaire, je vous embrasse.

Histoire de sexe : ma première rencontre sur Victoria Milan

Facile à retenir, la première fois que je t’ai vu, c’était le 24 décembre. Non pas que je sois pieuse pour un sou, mais je devais quand même me rendre au traditionnel diner qui a lieu à cette occasion. Plutôt que de’y aller directement, j’ai fait un détour par la gare afin de te voir pour un premier rendez-vous en coup de vent. Après tout, on s’était bien chauffé en ligne et j’avais sacrément envie de voir ce qui allait s’en suivre.

Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre, car nous avions échangé quelques messages à peine sur un site, lui aussi, pas vraiment catholique. Mais tu avais proposé et j’avais accepté. Les messages qui m’avaient donné chaud, certainement, avaient achevé de me rendre curieuse. J’avais caché sous mon trench gris une petite robe d’hiver et des bas, recouvert le tout d’une écharpe épaisse tout aussi sombre qui camouflait à moitié ma bouche légèrement recouverte de rouge à lèvres. Il y a souvent du vent devant cette gare et je me demandais comme à chaque fois qui avait eu l’idée vraiment merdique de recouvrir le tout de pavés alors que les voyageurs arrivaient et partaient avec des valises à roulettes. Ou une paire de talons bien hauts comme celle que je portais. Un défaut de conception sans doute.

Je t’ai aperçu de loin avant d’entrer dans cette fourmilière, plutôt contente de te reconnaître sur ce parvis plutôt que de devoir te chercher plus longtemps dans le bruissement continu des trains et des foules. Tu portais une casquette claire et un cuir bien couvrant — une tenue parfaite pour ne pas être reconnu. Dans tes yeux, il y avait plein de choses qui s’exprimaient plusieurs choses paradoxalement pas si contradictoires. J’y décelais une belle envie de me baiser, mais aussi celle de prendre soin de moi avec une délicatesse assez tranquille. Il s’avéra plus tard que c’était exactement ta façon de faire.

Tu m’as emmené boire un verre dans le seul café de la gare où l’on peut vraiment s’installer avec un peu discrétion. Je voyais très bien que tu t’imaginais me baiser là sur cette table en bois. Comme si tu avais peur que je m’en aille sans prévenir. Très concentré. C’est caché derrière les imposantes colonnes de l’entrée que tu m’as embrassé en me raccompagnant après ce moment définitivement volé.

C’est quand l’année suivante a commencé que je t’ai rejoint dans la chambre d’un de ces hôtels qui permet de ne rester que quelques heures. Un rendez-vous qui ne laissait aucun doute sur sa finalité, mais qui avait l’originalité d’avoir lieu en plein milieu de la journée. Si les gens en profitaient pour déjeuner en terrasse, nous avions un tout autre programme et ça me faisait rire de penser au décalage.

J’avais remis le trench et les talons sous un ciel gris caractéristique de la saison d’hiver. Une jupe crayon pour mieux me faire soulever. Et pendant que je marchais, je sentais ce mélange savoureux d’inconnu pur et d’excitation qui était toujours avec moi quand je prenais ce type de décision.

Derrière la porte encore fermée, je t’ai entendu te lever expressément du lit pour venir m’ouvrir. Tu avais remplacé la casquette par un costume ajusté aux épaules qui collait avec ton job. Tu avais aussi tiré les rideaux, juste un peu pour conférer au lieu une certaine torpeur tout en laissant le contour de nos ombres parfaitement visibles. Tu étais allongé sur le dos quand j’ai commencé à défaire les boutons de ta chemise blanche, te la laissant à moitié sur le dos pour mieux me concentrer sur ta braguette. Ce n’est donc pas tout de suite que j’ai vu le détail de ton corps, observant plutôt un tableau global — et surtout ta queue que j’avais bien devant moi.

— Je vais te baiser.

Et c’est ce que tu as fait. J’ai aperçu l’éclat de ta bague dorée quand tu m’as pris les cheveux pour mieux les éloigner de ma bouche. Encore un mélange de délicatesse et surtout de désir, alors tu as fait glisser tes mains fortes dans mes mèches blondes pour que je te prenne le plus loin possible au fond de la gorge. J’ai joué le long de ta queue avec ma langue et mes lèvres en te regardant avec cet air de défi dans les yeux façon « tu vas faire quoi ? ».

Ça t’a fait réagir comme je l’espérais, car c’est à ce moment-là que tu as éloigné les draps vers le côté du lit pour mieux m’y prendre. Tu m’as laissé sur le ventre, relevant mon cul en accrochant mes hanches avec des mains fortes. Ce qu’il fallait pour que tu t’enfonces dans moi comme la situation et moi-même le demandions de façon pressante. J’étais bien cambrée, la tête qui cognait presque dans le mur avant que tu ne mettes tes doigts le long de ma nuque pour m’installer dans un des coussins qui traînait. Je t’offrais une vue plongeante sur mon cul sans pour autant que tu le prennes tout de suite. Tu tenais mes poignets dans mon dos comme pour m’attacher avec tes mains pendant que tu me baisais.

Ce que je voyais, c’était cette absence certaine de calme et la dévotion que tu mettais dans cette baise, mettant un point d’honneur à me prendre sans retenue comme s’il y avait une musique pour baiser comme ça dans la chambre. Pas de retenue donc, ni de voile devant les yeux qui auraient pu te rendre un peu timide, juste la folie de ta queue en moi comme si tu baisais pour la dernière fois. Moi, j’étais trop électrique aussi pour ne pas continuer à te chercher. J’en voulais plus et je voulais que toi aussi.

Tu as joui dans ma bouche, sans trop de bruit, mais avec les yeux à moitié clos tandis que les miens étaient fermés, tenant avec ton pouce les mèches de mon front que tu aurais risqué d’atteindre avec ton foutre. Et ma tête bien droite pour en mettre le plus possible dans ma gorge. J’ai léché ce qu’il restait le long de ta queue et tes gestes sont tout de suite devenus plus tendres comme quand un homme a finalement joui.

Je me retrouvais encore allongée sur le ventre, mais cette fois-ci tu t’installais à côté de moi pour t’endormir à moitié.

Puis on a convenu de la prochaine date.

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1 Commentaire

  • Répondre Mary 8 mars 2023 at 19h38

    J’adore le premier chapitre de cette histoire de sexe adultère. Surtout qu’elle se passe le 24 décembre et je dois dire que j’ai vilain fantasme sur cette soirée-là… J’aimerais bien rester proche de la cheminée et qu’il se passe quelque chose avec un nouvel entrant, plein de surprises.

    Je m’égare peut-être mais je suis sûre de ne pas être la seule ici…

    Signée Mary Noël…

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