histoires de sexe homme à la moto
Mes histoires de sexe

Histoires de sexe : passer la soirée dans un jacuzzi avec l’homme à la moto

Aujourd’hui, je partage avec vous une nouvelle histoire de sexe. Il y a quelques années, en pleine période de célibat et de frivolité, j’avais un ami qui avait lui-même un ami. J’ai pu fantasmer sur ce dernier avant même de le rencontrer, car je savais qu’il était motard et qu’il avait de jolis bras bien dessinés. Ça n’a pas loupé : de passage sur Lyon pour rencontrer notre ami commun, il a accepté quelques verres avec moi puis nous sommes rentrés ensemble pour le reste de la nuit.

C’est la suite de cette nuit, abrégée par son départ le lendemain matin pour obligation, que je vous raconte dans l’histoire de sexe du jour. Le principal intéressé ne l’a pas lu à ce jour, mais qui sait, il tombera peut-être dessus en recherchant un site de rencontre

Histoires de sexe, dans le jacuzzi sous les étoiles

On avait improvisé un rendez-vous sur le quai de la gare un vendredi soir, pour passer le week-end ensemble et faire un tour de moto dans les routes en aiguilles du Vercors. Je me demandais un peu ce que je foutais à passer deux jours et deux nuits chez lui alors que nous avions passé  quelques heures tous les deux à peine, quoiqu’elles  fussent plutôt torrides. Je suis arrivée à destination au début de la nuit, talons aux pieds et bien heureuse d’avoir ramené une bouteille de champagne.

— T’as fait bon voyage ?

J’essayais d’être discrète mais je souriais bêtement devant la réalité d’être face à lui, dans une ville un peu au sud que je n’avais jamais visité auparavant. Je m’étais lancée un pari un peu stupide, me disant que s’il proposait de porter mon énorme sac jusqu’à sa voiture, c’est que je lui plaisais et que la soirée allait être…intéressante.

— Je prends ton sac ?

— Non, ça va, il est pas lourd. Merci.

Je souris un peu plus, essayant de me cacher dans les ombres du parking où il s’était garé alors que la seule idée de ses jolies mains sur moi, ici, me faisait tourner la tête. On a balancé mon sac dans le coffre et le moteur de sa Honda blanche grognait comme j’aimais. Dans cette voiture plate, je me sentais comme Bonnie au bras de Clyde. Le trajet s’est passé plein de futilités bienheureuses et de quelques blagues pour détendre nos retrouvailles et nos souvenirs pas vraiment bien-pensants.

Quand nous sommes arrivés à domicile, il m’a montré la chambre qui serait la nôtre durant le week-end, dans laquelle reposait un grand lit aux draps sombres qui n’attendait que nos corps. C’est en le suivant pour la visite des lieux que j’ai vu à quel point il avait gardé le meilleur pour la fin : un toit terrasse sur lequel se trouvait un jacuzzi. Il faisait un peu froid, il était un peu tard, quelques étoiles étaient encore là quand nos ombres nues se sont mises à l’eau accompagnées d’une coupe.

Sur les toits du monde nous n’entendions plus que les bulles du bassin dans la nuit. C’est dans cette atmosphère tapie par quelques lampadaires que nous sommes embrassés dans une timidité toute relative, rapprochant nos jambes qui s’entrelaçaient intuitivement. Nous sommes restés suspendus ainsi quelques secondes durant lesquelles mon corps sentait le besoin du sien encore plus près.

Les jambes tremblantes, je me suis lentement levée pour pouvoir poser mes mains en appui sur le bord du jacuzzi, lançant un sourire rapide avant lui présenter mon dos. Les lampadaires ont fait ressortir son corps bien fait à la peau encore bronzée de l’été. Puis ça a été ses mains qui se sont pris à mes hanches, je ne voulais pas qu’elles me lâchent. Des mains qui savaient ce qu’elles voulaient, dont les gestes m’excitaient dans un contexte parfois inapproprié. Et puis enfin il étais là, j’oscillais devant lui, contre lui pour libérer le trop-plein qui me remplissait.

Après avoir installé un préservatif sur sa belle queue, il a rassemblé mes cheveux blonds pour pouvoir les agripper dans une de ses mains, les tirant parfois délicatement en arrière comme pour que je me plie son rythme. Je sentais ses lèvres dans ma nuque et sa respiration qui se mélangeait à la mienne. Je voyais les ombres et les lumières se mouvoir sur mon corps pendant qu’il me baisait, ma peau claire qui se fondait à l’obscur. Je sentais ta respiration qui s’affolait dans le bas de mon cou, une métrique qui me faisait tourner la tête et perdre la raison.

Sous ses coups de reins, je ne pouvais m’empêcher de gémir beaucoup trop fort à une heure où il n’est plus raisonnable de le faire. Il a posé sa main ferme en bas de mon dos pour me faire ployer un peu plus. L’attente de ces quelques temps passés avec mes seules mains s’est enfin terminée quand il a enlevé le préservatif pour jouir sur mes fesses.

— On a dû réveiller les voisins.

Il m’a pris dans ses bras et nous sommes allés dormir.

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