Aujourd’hui, je continue mon histoire de sexe avec un chapitre 2. Je ne sais pas combien il y en aura au total, mais j’ai quelques souvenirs en tête qui pourraient faire encore de beaux récits au sujet de moments passés à deux… Nous verrons bien.
En attendant, vous pouvez retrouver le chapitre 1 de cette histoire de sexe avec l’homme d’Internet si vous ne l’avez pas encore lu. J’y raconte notre première rencontre avant sa finalité à l’hôtel après un échange sur un site de rencontre, vous pouvez d’ailleurs lire mon avis sur Victoria Milan par ici…
Dans cette deuxième partie, je vous fais découvrir la suite de mon histoire de sexe. Cela faisait alors quelques semaines que nous nous fréquentions lorsque nous avions envie d’un peu de folie…
Histoire de sexe : marcher dans Paris avec un bijou particulier
J’étais dans le train pour Paris quand j’ai reçu ton message qui me demandait si j’avais respecté ta demande. Ce n’était pas encore le cas, mais j’avais ce qu’il fallait dans mon sac et encore une bonne heure pour y répondre.
Quelques jours plus tôt, tu m’avais demandé si je voulais te rejoindre sur Paris pour la soirée. En somme, prendre un train après ma journée de travail depuis la gare où nous nous étions rencontrés trois ou quatre ans plus tôt, te retrouver sur cet hôtel littéralement sur l’eau et repartir tous les deux avant que le soleil n’ait eu le temps de baîller. Évidemment que j’étais partante.
Tu m’avais aussi donné tes directives, dont celle d’avoir un plug dans mon sac que je porterai très rapidement ailleurs, puisqu’il fallait que je te retrouve avec à l’hôtel. Je l’ai inséré plusieurs minutes avant d’arriver Gare de Lyon, te pressant déjà intérieurement de me baiser dès qu’on se retrouverait. Mais ce n’est évidement pas ce que tu avais prévu. Je suis sortie de la gare, traversant le pont en tenant au mieux ma robe à pois pour éviter que le vent ne découvre à la vue de tous ce que j’avais planté en moi. Il m’a encore fallu descendre de longs escaliers et marcher sur les quais pour te retrouver à l’accueil de ce nouveau lieu, sourire en coin parce que tu savais à la perfection ce que je portais sous mes vêtements.
Tu m’as dirigé jusqu’à la chambre, laissé sortir et porter les nouveaux escarpins noirs dont j’avais fait l’acquisition le jour même. Tu m’as mis tes mains partout, tu as vérifié que je portais le plug avec tes doigts… Mais tu ne m’as pas baisé. Pas maintenant, pas tout de suite, tu m’as dit dans l’oreille en me laissant trempée là.
Alors nous sommes partis en direction de la terrasse pour un apéritif et quelques tapas. Les talons qui claquaient, le plug qui bougeait suffisamment pour me faire me contracter légèrement. Essayant d’afficher un visage ressemblant à celui de la sobriété, du moins d’une relative normalité. On a trinqué dans les yeux. Tes yeux foncés bien dans mes yeux bleus alors que tu me défiais du regard. On a bu quelques verres, tu regardais mes jambes nues et mes escarpins pendant que j’essayais de me tenir convenablement. Difficile.
Cela a pris trois verres, de quoi s’habituer au plug juste ce qu’il faut pour être mouillé sans pour autant pouvoir assouvir l’envie qui me prenait à ce moment-là plutôt que toi. On discutait, le temps passait… Je sentais le plug encore, toujours. Puis finalement nous sommes repartis vers la chambre tous les deux un peu ivre alors que je n’avais plus qu’une seule envie dans la tête.
La porte de la chambre a eu le temps de claquer, à peine, que j’étais déjà à moitié à quatre pattes sur le lit en train de soulever ma robe noire pour te donner une belle vue sur mon cul ornée du petit plug en diamant que je portais depuis quelques heures maintenant. Enfin, on y était, je ne pensais qu’à ta queue en moi, tes mains sur mon cou, sur mes seins, dans mes cheveux. C’est justement mes cheveux que tu as pris d’abord avec une certaine poigne pour me faire me cambrer puis m’emmener à côté de la fenêtre. Ma robe tombait sur mes épaules, dégageant mes seins tandis que tu m’as collé face à la fenêtre pour que j’y voie les bateaux-mouches remplis de touristes un peu plus loin.
— Tu vas prendre avec vue sur la Seine.
Et c’est bien ce qu’il s’est passé. Tu as commencé par t’asseoir dans le fauteuil qui trainait à côté du lit, défaisant ta ceinture dans une lenteur maitrisée qui m’a fait me rappeler que tu avais le contrôle. Comme un bon Maître, tu allais encore jouer avec moi, me faire attendre, me faire languir. Tu m’as dit de me mettre à genoux, je me suis exécutée. Je sentais encore le plug qui était mon seul vêtement, la robe ayant été laissée abandonnée au sol.
J’ai pris ma queue dans ta bouche alors que tes doigts me serraient les cheveux, tu avais eu ce geste qui m’excite tant, celui de rassembler mes cheveux pour qu’ils ne te dérangent pas pendant que je te suçais. Par moment, tu relevais ma tête pour m’ordonner de te regarder, me commandant d’arrêter avec ce regard de petite insolente. Cela m’a valu quelques baffes, claires et appuyées, de celles qui viennent claquer sur les joues comme sur le cul.
Je savais que la finalité de cette soirée n’était pas cette pipe, que tu ne m’avais pas demandé, disons ordonné, de m’habiller d’un plug anal pour la beauté du geste. Je te sentais dur au fond de ma gorge et pourtant je savais clairement que c’était long d’être fini. Je tremblais rien qu’à l’idée de la suite, d’excitation et d’ivresse comme dans toute séance de BDSM qui se respecte. J’étais bien soumise, ça te plaisait tandis que ça m’excitait.
On y était, alors tu m’as enlevé le plug dans une délicatesse en me disant fermement que tu allais me prendre le cul. L’idée était plus que plaisante et c’était notre première ensemble, alors pour te montrer mon envie j’ai levé le cul vers toi pour sentir ta queue dure contre mes fesses. Tu t’es inséré en moi doucement d’abord puis plus durement ensuite. J’ai eu le temps d’avoir une pensée rapide pour nos voisins de chambre qui n’allaient certainement pas pouvoir s’endormir de suite… La sodomie me rend toujours moins discrète pour ne pas dire plus que bruyante et cela s’est confirmé.
Je te sentais dans mon cul pendant que tes doigts passaient sur mon clitoris, confirmant que j’étais trempée de plaisir. J’aimais ce qui se passait, dans mon corps comme dans ma tête. Tu dominais la situation autant que moi-même, décidément du présent comme de l’avenir de ce moment plein d’ivresse. J’étais remplie avec ta queue tandis que tu continuais à me parler avec ce même ton, celui du Maître qui attend qu’on se plie à ses ordres et ses désirs.
Tu me prenais sur le lit puis tu m’as fait me relever pour me rapprocher de la fenêtre où nous étions un peu plus tôt. Puis tu as tenu ta promesse, j’ai pris avec vue sur la Seine, les seins collés à la vitre et ta queue au fond de mon cul tandis que tes va et viens m’excitaient autant que cette légère exhibition dans laquelle on me voyait soumise.
Enfin, tu as voulu finir comme tu l’aimais avec moi. Alors tu t’es retiré, laissant mon cul vide tout en gardant soigneusement tes doigts sur ma chatte. Sans les insérer en moi, tu as continué de les balader en me tenant toujours par les cheveux de l’autre main. C’est là que tu m’as autorisé à jouir, les seins collés contre la vitre qui pointaient avec le froid et les yeux entrouverts. J’ai cambré comme tu dirigeais mon corps et j’ai pris mon pied en faisant du bruit alors que tu me disais près de l’oreille que c’était bien, que j’étais une bonne soumise.
Alors que je tremblais encore, tu m’as remis à genoux pour me coller la bouche sur ta queue. Je savais que tu n’étais pas coutumier du fait de jouir dans le préservatif, car après tout c’était à moi que revenait la précieuse semence. Tu m’as pris la tête pour me guider en gorge profonde, je m’étouffais sur ta queue quand j’ai senti ton sperme chaud qui me coulait partout. Sur la langue comme sur les lèvres. Alors tu as pris tes doigts pour me mettre le reste de ton foutre dans la bouche, me faisant sucer tes doigts alors que tu étais toujours debout devant moi.
Tu t’es allongé près de moi pour me rapprocher vers ton corps en cuillère et passer tes. mains sur mes joues qui étaient certainement aussi rouges que mes fesses. De petites caresses d’un Maître à une soumise qui a respecté les directives comme il se doit, ce qu’il fallait pour que je m’endorme en douceur. Le réveil fut plus difficile, faute de manque de sommeil et d’excès de champagne et cette fois-ci, c’est sans plug que j’ai pris le train du retour avec toi.
Je suis arrivée sur mon lieu de travail à l’heure, les yeux fatigués, mais pétillants de souvenirs et de désir alors que personne ne pouvait s’imaginer que, la veille, j’avais pris avec vue sur la Seine.
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