Aujourd’hui, je vous partage une nouvelle histoire de sexe. Dans celle-ci, je vous raconte comment j’ai appris à connaître, de façon très biblique, un collègue arrivé sur mon lieu de travail quelques semaines plus tôt… Pour une fois, c’est une rencontre que j’ai faite en réel et non sur un de mes sites coquins favoris comme cela m’arrive assez régulièrement.
Histoire de sexe : faire monter le désir puis faire tomber la robe
Si tu semblais relativement discret à ton arrivée sur le lieu de travail dans lequel je suis, tu as finalement passé le cap assez rapidement. Tu venais nous voir de temps en temps, montant les escaliers avec une discrétion relative pour échanger deux ou trois blagues quand tu en avais l’occasion avant de retourner à tes occupations. Ça me faisait assez rire, jusqu’à ce que tu balances une allusion sur une culotte baissée jusqu’aux genoux et une fille bien cambrée. C’est là que j’ai su que j’avais envie de savoir ce qui se cachait sous ton petit air.
Au cours des jours suivants, on a commencé par échanger avec quelques messages plus privés en parallèle de nos échanges en réel dans la journée. Si le sujet avait commencé à dévier légèrement, c’est un match de foot qui a vraiment fait monter la sauce. J’ai parié sur un but de ton équipe préférée, indiquant que si le numéro 10 marquait, je t’enverrais une tout autre photo que celle du stade que j’avais sous les yeux.
Il faut dire que je ne me rappelle pas vraiment si l’attaquant a fini par marquer ou non, mais je me souviens très bien des photos. Évidemment, j’avais choisi le maillot de ton équipe favorite, soulevant celui-ci pour qu’il découvre largement mes hanches et la chute de mon dos. À cela, j’avais ajouté un string en dentelle noire et c’est tout. Je m’étais installée sur mon lit pour capturer au mieux le désir que j’avais de toi. Bien sûr, je n’ai pas envoyé les photos de suite, j’ai attendu le lendemain matin pour être certain qu’on serait tous les deux sur ledit lieu de travail.
On s’est croisés rapidement, limités à l’échange d’un regard rapide parce que les occupations du jour étaient déjà en cours. C’est exactement là que j’ai choisi de t’envoyer les photos que j’avais prises la veille dans ce maillot à la couleur bien verte. Il n’a pas fallu bien longtemps avant que tu montes me voir pour accuser bonne réception des clichés. Mais on avait encore toute la journée à faire avant de pouvoir assouvir quoi que ce soit.
Les heures passaient et on continuait de s’écrire comme pour en rajouter. J’avais perdu tout semblant de concentration, pensant à quand tu me prendrais enfin pour assouvir cette envie qui devenait bien trop forte. Alors je travaillais sans trop travailler, regardant si tu m’écrivais et continuant à t’écrire en te disant ce que j’allais te faire… J’avais tellement chaud, assise sur ma chaise de bureau dans ma petite robe noire bien moulante que j’avais accompagnée de bottines et, surtout, d’un rouge à lèvres qui semblait bien te plaire.
Il devait être 17 heures quand on a craqué. On s’est donné rendez-vous dans les escaliers qui permettent de descendre ou de monter les quelques étages du bâtiment, ceux que personne ne prend puisqu’il y a un ascenseur. Je t’ai demandé de m’écrire dès que tu y étais, qu’on ne nous voit pas partir ensemble. Quand j’ai poussé la porte pour emprunter le couloir, il faisait parfaitement sombre et frais, ce qui tranchait avec la fièvre qui m’envahissait depuis le matin. J’avais toujours chaud, je ne pensais qu’à ces quelques pas qui me séparaient de toi alors que ma peau devenait brulante. Toi, tu t’étais installé juste dans un petit coin pour rester discret.
On s’est sauté dessus dès qu’on le pouvait, tu m’as attrapé la bouche pour m’embrasser pendant que j’avais ta nuque sous la main, c’était à savoir qui de nous deux plaquerait l’autre contre le mur. On s’est marré en voyant la caméra juste au-dessus de nous, comme si elle nous fixait d’un oeil inquisiteur. Alors on a presque couru pour s’installer plus discrètement au 4e étage et c’est moi qui me suis retrouvée le dos collé au mur. J’ai jeté ma robe sous laquelle je ne cachais rien… Si ce n’est mes seins dont les tétons devaient pointer depuis mon arrivée au travail ce matin. Dans la foulée, j’ai déboutonné ton jean à la hâte avec le désir de découvrir ce qui se cachait dessous. Enfin j’avais ta queue entre les mains.
Tu m’as baissé mon collant à la hâte, emportant mon string en même temps jusqu’à mes chevilles, comme cette blague que tu avais racontée innocemment quelques jours plus tôt. Tu as passé ta main partout sur mes seins et mon corps, me soutenant de l’autre alors que j’étais déjà contre le mur, comme si tu savais que j’allais défaillir parce que mes cuisses tremblaient déjà trop. On est resté là debout, suspendu, pendant que tu me touchais le clitoris en découvrant à quel point j’étais trempée et que je te branlais en essayant de ne pas faire de bruit.
Puis je me suis mise à genoux devant toi, toujours alors que tu faisais face au mur et à moi dans ces escaliers tamisés en espérant que personne n’ait terminé sa journée de travail. J’ai commencé à te sucer pendant que tu pétais un plomb, je te sentais dur dans ma bouche en me disant que, décidément, ta queue s’emboitait parfaitement bien avec mes lèvres. Je t’ai pris jusqu’au fond, tentant de te regarder dans l’obscurité en même temps que je t’avais dans la gorge. Tu m’as dit que tu allais jouir, comme pour me prévenir de reculer, mais je savais déjà que j’avais envie de te gouter. Nous avions eu trop de messages, trop d’échanges pour que tu termines autrement que sur ma langue.
Alors tu m’as donné ton sperme en éjaculant quelques minutes plus tard sur la langue que je te tendais avec application, dans une politesse déconcertante, sans même me tirer les cheveux et ça me plaisait aussi comme ça. En réponse, j’ai avalé en te regardant avec la même folie qui t’avait traversé les yeux pendant que tu éjaculais.
Quand je me suis relevée, tu n’étais pas encore rhabillé que tu m’as remise contre le mur, avec une virilité appréciable allant parfaitement avec tes bras secs et musclés qui m’avaient donné envie de toi. Tu as remis tes doigts, les laissant aller sur moi et contre mon clitoris jusqu’à ce que mes jambes ne puissent plus s’arrêter de trembler et que je respire plus vivement. J’avais envie de te crier de continuer, mais je ne pouvais que te le dire doucement en t’accrochant la nuque pendant que ton torse se collait à mes seins.
C’est là, avec le dos cambré contre le mur pour tenter de rester debout du mieux que je pouvais, que j’ai joui avec tes deux doigts collés sur la chatte. Enfin, je laissais aller ce qui m’avait envahi pendant des jours entiers et occupée quelques fois quand j’étais seule avec mes jouets sur mon canapé. Je jouissais de plaisir après que l’envie se soit accumulée en moi pour vivre ce moment interdit dans la cage d’escalier de ce lieu de travail qui nous faisait fantasmer.
Après avoir repris nos esprits, c’est aussi nos affaires éparpillées par terre que nous avons récupérées en rigolant. Tu avais fini ta journée alors que je devais remonter à mon bureau avec les cheveux en bataille et les yeux pétillants de l’orgasme. J’ai pris le soin d’essayer d’enlever les dernières traces de rouge à lèvres qui s’étaient étalées pendant que j’entourais ta queue avec mes lèvres. On s’est embrassé rapidement en se disant qu’il allait falloir remettre ça… et vite.
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