Ce week-end, je vous partage la suite de mon histoire de sexe avec l’homme d’Internet, rencontré quelques mois plutôt sur le site de rencontre adultère Victoria Milan.
Pour rappel, cette histoire de sexe est le chapitre 3 d’une série vouée à continuer pendant une période indéterminée, sachant que j’ai déjà écrit un premier chapitre au sujet de notre rencontre puis un deuxième chapitre sur une virée à Paris pour une seule nuit. Je vous conseille tout de même d’aller lire les récits précédents avant de vous atteler à celui-ci, mais vous êtes évidemment libre de faire comme vous le voulez… Dans cette troisième partie, je vous raconte ma rencontre avec deux amis de l’homme d’Internet…
Histoire de sexe : deux amis charmants
Ce soir-là, il doit être plus de 22 heures quand tu m’envoies un message. C’est un jeudi, tu viens de terminer l’entraînement avec tes amis quand tu proposes de passer chez moi avec l’un d’entre eux. Il faut dire que tu avais déjà mentionné ce dernier plus tôt dans la semaine, comme pour me tester… Dans la discussion, tu avais vite compris mon intérêt pour le sujet, car je t’avais répondu que dans mes fantasmes, il y avait celui de ma venue en tenue légère dans les vestiaires d’une équipe masculine comme la vôtre, remplie de joueurs.
À cette date, cela fait plusieurs mois qu’on se retrouve de manière impromptue quelques fois par semaine, toi et moi. On trouve toujours un endroit dans lequel tu peux me prendre et ça me plait. Alors dans ton message, quand tu me dis que tu es avec un ami, sans m’en dire plus, les points de suspension qui succède l’information laisse à penser qu’il y un sous-entendu de ceux que j’apprécie.
Ayant une tendance certaine à saisir les perches qu’on me tend, je te demande évidemment si tu veux passer avec lui. C’est là que ce deuxième ami se joint à votre conversation, si bien que je l’invite également pour qu’on se retrouve tous les quatre dans mon appartement. Le tout avec l’idée claire et précise de s’offrir une partie fine et bonne et due forme, de celles qui ont lieu durant une nuit feutrée d’hiver alors que la ville est endormie.
J’ai une trentaine de minutes devant moi avant que vous arrivez à Lyon, c’est clairement plus que ce qu’il m’en faut pour me préparer à accueillir une soirée libertine chez moi. Pendant ce temps, tu es droit dans tes directives par messages, il y a surtout celle d’oublier le port de la culotte et de le remplacer par le plug anal, le jouet même qui m’a accompagné lors de notre précédent voyage à Paris. Pour le reste de la tenue, je reste libre. Après tous, je connais parfaitement tes goûts et j’ai dans l’idée de te faire péter les plombs lorsque tu arriveras avec tes potes.
D’ailleurs, ça ne loupe pas. Quand tu frappes à ma porte, vous me découvrez perchée sur une paire d’escarpins noirs accompagnée par des bas noirs sur lesquels on retrouve de la dentelle et un petit noeud à l’arrière. Ils dépassent juste ce qu’il faut sous ma jupe taille haute clairement moulante, que j’ai choisi pour son côté secrétaire salope. Comme il fallait accentuer encore un peu le trait, j’ai ajouté à cela une chemise bleue claire un peu déboutonnée pour que mes seins soient relativement apparents, un léger trait de mascara et le rouge à lèvres le plus résistant possible de ma trousse à maquillage.
En dehors de la tenue, j’ai en tête que je joue à domicile ce soir, j’ai donc installé une bouteille de champagne au frais, une lumière tamisée et un fond sonore parfaitement adapté sur l’enceinte du selon. Comme je n’en rate pas une, quand il faut récupérer la bouteille que j’avais installé tout en bas dans le frigo, je me penche outrageusement en sachant que vous me regardez tous assis depuis le canapé. Je vois aussi que tes amis ne savent vraiment que faire, je retrouve un semblant de timidité mélangé à un désir sourd, dans leurs yeux, comme s’ils attendaient l’étincelle qui lance tout pour montrer la bestialité qui les habite. C’est qu’ils seraient à deux doigts de m’appeler Madame.
Je découvre aussi très vite que tu les as briefés sur le trajet vers mon appartement. Alors quand je me mets à genoux pour que tu m’habilles avec un collier en cuir noir, aucun d’entre eux ne semble vraiment surpris. Intrigués, un peu, mais surtout attentifs, comme si le temps était suspendu pendant que tu cherchais le bon cran pour attacher la boucle dans ma nuque. Je te connais assez pour savoir que tu es parfaitement satisfait et excité par la situation, mais aussi en maitrise tandis que je contemple les trois hommes qui me font face. Et moi, je souris intérieurement et je me dis que, ce qu’il va se passer, je risque bien de m’en souvenir pendant longtemps.
C’est sur le canapé que les choses commencent, j’entends le bruit significatif des braguettes qui s’ouvrent autour de moi et ça me plait. Déjà, je n’ai plus que les bas et les talons pour m’habiller, sans négliger le plug qui contribue fortement à mon excitation depuis votre arrivée… Quand tu vérifies avec tes doigts, je suis déjà trempée alors que je n’ai encore goûté à personne.
Il n’en faut pas plus pour que je me rapproche de tes amis, particulièrement celui qui semble le plus réservé. J’aime accueillir et je sais que tu attends de moi que je m’empresse de mettre tes amis à l’aise. Il est assis dans le canapé, sa queue devient encore plus dure pendant que je suis à genoux devant lui en train de baisser son jean sur ses chevilles. Enfin, sa timidité relative disparait lorsque je prends sa queue en bouche. Il passe de la discrétion à la pulsion en un claquement de doigts, son visage prend le masque du cru et du cul juste sous mes yeux. Il faut dire que je l’ai bien allumé.
Tu lui dis qu’il peut me tenir les cheveux, il ose, il rassemble donc toutes mes mèches dans un chignon en vrac comme tu le fais toi, pour que les va-et-vient de ma bouche et ma langue soient en rythme avec ceux de son plaisir le long de sa queue. Pendant ce temps, ton ami s’est rapproché pour mettre son sexe en érection entre ma main. Pendant ce temps-là, tu es derrière moi et tes doigts se posent sur le plug juste ce qu’il faut pour me faire monter dans les tours sans me déconcentrer pour autant. D’ailleurs, c’est toi qui me prends en premier, alors que je suis toujours à quatre pattes sur le tapis tandis que tes amis sont assis au fond de mon canapé clair.
À cet instant, je suis grisée par le désir, je respire en prenant le temps de savourer ce plaisir bestial, instinctif, que je ressens à l’idée d’avoir trois hommes rien pour moi qui, en plus, ne se toucheront même pas entre eux. Je dois sourire un peu trop grandement puisqu’à ce moment-là tu me prends la main dans le sac.
— Putain elle se marre, c’est qu’on la baise pas assez fort les gars.
Comme je suis joueuse, je souris toujours alors que tu me passes les menottes aux poignets tout en me tenant les mains dans le dos. Si tu n’as certainement pas osé la claque devant tes amis, je te regarde d’en dessous avec une relative insolence et je vois que tu es exaspéré, signe que je vais prendre cher. Tu soumets à ton ami, celui dont la timidité a été rangée depuis un moment, l’idée qu’il me prenne le cul. Comme réponse, je le lui tends alors qu’il se prépare en ajustant un préservatif sur sa queue tendue.
Pendant ces quelques secondes, tu m’emmènes vers la chambre et tu m’enlèves le plug afin que ton pote puisse y glisser sa queue. Ton second ami n’est pas en reste, il vient lui-même se placer devant moi avec la désinvolture relative de celui qui ne vit pas sa première fois dans ce contexte. Une mèche de cheveux lui cache à moitié les yeux, il est laconique et se veut faussement plus calme dans son désir. Il est debout alors que je suis couchée sur le lit juste à la hauteur de son sexe, il bande. Je prends sa queue dans la bouche pour le sucer avec un regard très appuyé jeté à son intention. J’ai envie de voir ce qu’il y a derrière cette façon apparente de se contrôler, car je ne peux pas me résoudre à ce qu’il n’y ait rien.
Si je sais que les timides peuvent vriller en quelques secondes avec une bonne pipe, qu’en est-il de ce faux calme, de ce pseudo discret à l’égo de taille ? Voilà qu’il se détend en trouvant sa place dans ma gorge, je passe ma langue sur son gland et l’enfonce tout au fond pour le provoquer. En réaction, il prend la place de son pote pour attraper mon cul après avoir enfilé la capote de rigueur. C’est mes hanches fines qu’il agrippe comme il peut afin que je m’empale sur lui comme il se doit, je gémis avec les mains toujours menottées dans le dos. D’un semblant de pudeur, il devient presque tactile, subtil alors même que sa queue tape au fond de mon cul.
J’ai droit à une double pénétration lorsque tu m’installes sur toi. Tu es couché sur le dos et tu viens me déposer sur ton corps, je sens ta queue toute tendue qui me fait mouiller encore alors que tu tiens mes bras pour me cambrer face à ton pote pour que je lui présente mon cul. C’est toujours lui, avec sa mèche et sa désinvolture, qui reprend sa place en insérant sa queue lui aussi pour que je vous sente tous les deux en même temps. Et c’est bien ce qu’il se passe, je me sens pleine, puissante et vivante à la fois alors que vous me baisez à deux avec poigne. Je ressens la fraicheur de la boucle du collier sur ma nuque, celle des menottes sur mes poignets, mais surtout l’ivresse d’être prise partout et de me laisser aller à tes ordres.
Vous finissez par vous retirer avec une certaine finesse tous les deux alors que tu me dis de me mettre sur le dos. Je suis couchée sur le lit, la main qui frotte mon clitoris pour remplacer la tienne. Vous m’entourez, debout, vos queues entre les mains, je passe de l’un à l’autre en vous suçant avec la tête à l’envers contre le bord du lui. À quelques minutes d’intervalle, ce sont d’abord tes potes qui jouissent sur moi, je sens le sperme chaud qui me coulent sur le visage et les seins.
Finalement, c’est ton foutre que je reçois en dernier après t’avoir repris, une dernière fois, en gorge profonde avec ta main directive qui m’encourageait à te prendre vraiment en entier dans la bouche. Alors forcément, quand tu jouis sur ma langue, je te regarde par en dessous pour te montrer comme j’avale bien.
Naturellement avec ton pouce, tu as pris le dernier reste de ton sperme au coin de mes lèvres pour que je l’avale aussi, puis tu m’as embrassé sur le front alors que nous retournons dans le salon vers tes amis qui se sont avérés, ma foi, fort charmants à mon goût.
1 Commentaire
J imagine ton plaisir ainsi que le plaisir de ses 3 hommes. Merci pour le partage. C est toujours un bonheur que de te lire.
Tu raconte tellement bien les choses qu on s y croirait